Ces dernières années, l'histoire de la prise de vue astronomique a sérieusement accéléré. Après n'avoir eu comme seule échappatoire que le TP 2415 et ses improbables chimies (film négatif noir et blanc "hypersensibilisé" allié à un révélateur spécifique) pendant de nombreuses années, après avoir connu les balbutiements des capteurs CCD associés à une informatique hésitante, nous voici dans l'ère de la photo numérique. Les appareils photo reflex numérique promettent beaucoup. Notre programme 2005 est en partie axé sur l'utilisation d'APN.
Nous avons également utilisé le caméra CCD ST8 dotée d'un capteur dédié "astronomie" possédant des caractéristiques de sensibilité et de précision d'enregistrement de la lumière non accessibles aux APN pour encore un bon moment.
Nous avons mis à profit les trois nuits de ciel dégagé du début de la semaine pour mener à bien une partie seulement de notre programme. Notre groupe, composé de sept personnes, a néanmoins réussi à engranger quelques images, tant avec le T620 qu'avec les moyens personnels que certains avaient amené avec eux.
L'observatoire est désormais alimenté en électricité par trois batteries de panneaux solaires. En effet, depuis notre séjour de l'été dernier, l'équipement solaire a été triplé, passant ainsi de une à trois batteries de panneaux, ce qui procure une puissance instantanée d'environ sept kilowatts. Les batteries ont également été remplacées, de façon à stocker le jour et restituer la nuit toute l'électricité dont la station a besoin.
Deux programmes ont été réalisés lors de notre présence à l'observatoire du 2 au 10 juillet 2005 :
Consultez le compte-rendu de mission au format PDF.
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